29 mars 2010
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(le titre de ce texte est tiré d'un poème de Louisa Paulin, "L'Escalièr de Veire" )
D'une jambe allongée
En compas de maçon
Elle trace la route
Lumière mate irradiante
Levain en pousse
Acidité du pain
En devenir
Au premier instant
J'ai compté ses doigts
Contemplé l'ourlet de l'oreille
Etonnée de n'avoir rien oublié
De morceaux qui s'assemblent
En mortaises parfaites
Au façonnage des pièces
Encore à venir
Je la regarde
Entrer dans un printemps
Qui sera le premier
De ce temps
Qui ne sera qu'à elle
Une volte a suffit
Trois notes à peine
L'éloignement a commencé
Au rythme balancé
De ses jambes gaies
D'échassier impudent
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(le titre de ce texte est tiré d'un poème de Louisa Paulin, "L'Escalièr de Veire" )
D'une jambe allongée
En compas de maçon
Elle trace la route
Lumière mate irradiante
Levain en pousse
Acidité du pain
En devenir
Au premier instant
J'ai compté ses doigts
Contemplé l'ourlet de l'oreille
Etonnée de n'avoir rien oublié
De morceaux qui s'assemblent
En mortaises parfaites
Au façonnage des pièces
Encore à venir
Je la regarde
Entrer dans un printemps
Qui sera le premier
De ce temps
Qui ne sera qu'à elle
Une volte a suffit
Trois notes à peine
L'éloignement a commencé
Au rythme balancé
De ses jambes gaies
D'échassier impudent
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