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28 septembre 2008 7 28 /09 /septembre /2008 02:33
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Pour le petit morceau de peau
Entre la nuque et l'épaule

Pour le creux faible de la taille
Quand le torse s'évase
Sur les hanches rétrecies

Pour les jambes en colonne
Fûts de tendons et chairs noués

Pour le ventre aux tendresses d'oreiller
Aux senteurs de prairies

Merci à vous
Messieurs
D'être
Ce que vous êtes




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commentaires

C
Tu sais qu'à force d'entendre sans cesse au sujet des mecs des "portraits de l'affreux en nullité", j'avais finir par penser que c'était sûrement un peu vrai, et que le mieux était de se planquer. <br /> Parfois trois bulles d'oxygène remontent le dinosaure à la surface, et, surprise, non : il reste quelque avocate pour plaider, dans le miroir sale dont on ne sert jamais, nous autres, et y lire autre chose qu'une inconsolable sale gueule ...<br /> Merci, Sardine ...
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L
oh, oui les fesses !... mais j'en avais déjà parlé là, http://de-l-autre-cote-de-l-eau.over-blog.com/article-21748131.html
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C
et les fesses douces et fermes..
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V
Dis donc, ma Sardine, à part le ventre aux tendresses d'oreiller et aux senteurs de prairie, c'est beau sans dèc... ! Mais le reste....c 'est d'la merde...ou quoi.<br /> ...!
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V
Tu sais, pour le ventre aux douceurs d'oreiller, on me l'a déjà dit,... une femme, tiens donc,; qui rajoutait les plaines souples de Mongolie... où on aurait du se rencontrer le 8 janvier 2007, un jour je te raconterai, mais maintenant, je pleure cet horrible et adôrable Swam....., ça me fait mal un peu pareil... Salaud...! Des triples bises à toi, ma chère Sardine.
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